Quatrième de couverture :
Pontagnac, le » dragueur » malheureux, sera finalement le dindon de la farce. C’est d’ailleurs un brave garçon, qui ne trompe jamais sa femme sans la plaindre. Et qui ne perd jamais la tête : il suit les dames dans la rue, mais s’il pénètre derrière elles dans les pâtisseries, il les attend sagement à la porte des bijouteries. Quant à Vatelin, le mari de Lucienne, il risque de payer fort cher une vieille entorse à la fidélité conjugale, laquelle entorse refait brusquement surface en la personne de Maggy, une joyeuse fofolle anglaise… Un troisième larron, rival de Pontagnac, vient encore compliquer la situation. Et voilà la mécanique en marche, » sans que s’affole un seul rouage, sans que saute un seul ressort « , comme dit Jean Richepin.
Ma lecture :
Qu’est ce que j’ai pu rire !
Le théatre est un genre difficile à lire, je trouve. Il faut s’imaginer les scènes, s’y retrouver dans les personnages et plus on segmente la lecture et moins on y se retrouve. Et bien malgré le fait que j’ai lu ce livre en de nombreuses fois, qu’il y ait beaucoup de personnages (avec des consonnances similaires en plus), j’ai adoré lire ce livre.
Les dialogues sont ciselés, les personnages sont drôles (l’anglaise essayant de s’exprimer en français est hilarante), les situations sont cocasses et bien trouvées. Bref, un excellent moment de lecture que je vous recommande chaudement.
J’ai hâte de pouvoir voir la pièce.
Ma note : 5/5
J’adore lire du théâtre. Je note donc avec empressement!
Ah oui ! a ne pas louper !
je crois que j’ai lu cette pièce… tu as raison, le théâtre est d’abord destiné à être vu! mais la lecture peut être un plaisir aussi…
J’ai du mal avec les lectures théâtrales mais par contre j’ADORE les feydeau au théâtre, c’est un pur moment de bonheur 😉