L’homme qui haissait les femmes de Judith McNaught

Quatrième de couverture :

Non, pas question! Bien que Lauren manque cruellement d’argent, jamais elle n’ira travailler chez Sinco et jouer les espionnes pour le compte d’un lointain cousin. Alors, elle rate volontairement son test d’embauche. En sortant, Lauren tombe dans la boue, aux pieds de l’homme le plus séduisant qu’elle ait jamais vu ! Bien qu’il se prétende simple ingénieur chez Sinco, son intervention suffit pour qu’elle soit engagée comme secrétaire. Et naturellement, elle succombe à son charme… Lorsque Lauren découvre que Nick Sinclair n’est autre que le riche et puissant P-D.G. de Sinco, il est trop tard. La voilà prise au piège ! Harcelée par son cousin, elle doit jouer son rôle d’agent de renseignements. Et trahir l’homme qu’elle aime…

Ma lecture :

Je me suis précipitée sur ce livre. J’ai commencé à lire un passage au hasard, vérifié que ça se termine bien (et oui, je lis ces romans pour n’avoir que du positif – mais je vérifie quand même, on ne sait jamais si ils s’étaient trompés dans le cahier des charges …). Et les deux pages au hasard se transforment en cinquante lues en diagonales…
Tout ça pour dire, qu’il m’a happé, que je voulais savoir si le héros était vraiment un beau salaud (je confirme que j’en voudrais pas à mon petit-dèj- je préfère Lord Saint Vincent, il a de l’humour au moins et c’est un vrai coquin – fin du hors sujet) , si l’héroïne était vraiment fleur de bleue (= nunuche dans ce cas) pour être réellement tombée amoureuse d’un homme en deux jours et avoir donné sa petite fleur à un malotru de genre (écrire un billet sur ce genre de lecture, demande un champ lexical spécial).
Il faut tenir compte d’une donnée essentielle avant de donner mon avis sur ce livre : l’amour est complexe et il faut tenir compte des traumatismes de l’enfance (et Dieu sait que dans ces romans, il y a beaucoup d’hommes handicapés émotionnels). Ne vous moquez pas, de se remémorer cette donnée, fait relativiser beaucoup de chose.
Il y a une donnée également non négligeable, c’est que tout cela est sur une intrigue d’espionnage industriel, de chantages et donc le suspens est là.
Bref, un livre à lire si il tombe par hasard entre vos mains mais attendez vous à avoir une sacré tonne de clichés.

Ma note : 3/5

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8 réflexions sur “L’homme qui haissait les femmes de Judith McNaught

  1. il fait pas partie d’une série celui là???
    bon, j’avoue, les contemporains de Judith, je ne les ai pas tous lu. mea culpa!
    T.

  2. C’est son premier, je crois… On y voit déjà l’efficacité de sa plume ; c’est un roman plaisant à lire, mais sans plus en effet. Comme tu le dis, c’est assez cliché…

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