Quatrième de couverture :
« Le mot que vous cherchez est style, Votre Grâce ». Le duc de Clevedon se demandait justement quelle qualité indéfinissable rendait Mme Noirot si fascinante. Celle qui ose se présenter comme « la plus grande couturière du monde » veut le convaincre que sa future femme doit lui commander toutes ses toilettes si elle veut tenir dignement son rang. Sous cette apparence gracieuse, Mme Noirot est une redoutable femme d’affaires. Clevedon devrait lui rire au nez. Il en est incapable. Car, bien que ses fiançailles soient sur le point d’être annoncées, c’est cette adorable roturière qui occupe toutes ses pensées.
Ma lecture :
L’héroïne, Mme Noirot est une descendante de la famille Delucey (pour ceux qui ont déjà lu la série sur les Carsington), c’est dire le caractère et le fort potentiel d’embobinage qu’à cette famille (Mme Noirot, ses deux soeurs et sa fille).
Elles ont leur propre maison de couture et pour avoir plus de clientes, elles décident de mettre le grapin sur la fiancée du Duc de Clevedon. Pour se faire, il faut déjà entrer en contact avec celui-ci qui baguenaude à Paris (pas très motivé le Monsieur de retrouver ses obligations à Londres). Il flashe sur Mme Noirot et comme il est bien de sa personne, elle a du mal à résister. Après, quelques épisodes où elle n’est pas passée inaperçue, elle décide de rentrer précipitamment à Londres.
L’histoire en elle-même n’est pas très originale mais j’ai adoré le contexte de la maison de couture car toutes les toilettes sont détaillées, les rubans, les choix des tissus, etc.
Quand je dis que l’histoire n’est pas très originale, c’est en comparaison avec les autres romans de cette auteure. On retrouve des points communs avec « Lady Carsington » par exemple mais pour les lectrices qui ne connaissent pas les autres livres de cette auteure, ce sera une très agréable lecture, je pense.
En tout cas, moi, je lui mets une note de 4/5 car les descriptions de la vie de couturière et le caractère des demoiselles m’a beaucoup plu.
Ma note : 4/5
Irk j’ai absolument détesté le personnage de Clevedon! Ce soit-disant héros est arrogant et méprise complétement son héroïne (que j’ai apprécié jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de lui!!!).
Lu en commun avec Pimpi, qui n’a pas été convaincue non plus, nous avons décidé de ne pas en parler sur nos blogs…
C’est assez étrange comme lecture car l’héroïne ne m’est pas sympathique non plus. Non, je persiste à dire que pour moi, l’intérêt de cette lecture c’est la description des robes (bah, oui, c’est mon côté fifille).