Parce que je suis indécrottable et que je n’ai même pas honte :

Voici le bilan des challenges qu’il aurait fallu que je réussisse l’année dernière :

Le challenge en cours début d’année 2012 était  :

Et il n’a pas avancé d’un livre (bravo moi-même !)

Les challenges de l’année 2012

Le challenge New PAL : que dix livres lus (et donc ma PAL n’a pas du tout diminuée)

J’avais une page spéciale : une page sur le blog

Le tableau de chasse Whoopsy Daisy

Le challenge etait expliqué ici.  Je n’ai rien lu !!!!! Honte à moi.

Deuxième challenge : Un classique par mois

C’etait chez Cécile que ça se passait et tout était expliqué ici.

Je n’en ai lu que trois. Autant dire que je n’ai pas assuré du tout.

Challenge Molière

Ce challenge etait chez Sharon et j’avais tout expliqué ici.

Je n’ai lu que deux livres alors qu’il fallait en lire quatre….

 Les livres gourmands de Thé, lecture et macarons

Alors là, messieurs, mesdames les jurés, j’ai fait des recettes et pris des photos et mon mari les a mises à la poubelle. Je suis INNOCENTE !!!! Et dieu sait ainsi que tout mes proches, que la cuisine et moi, ça fait une lectrice qui laisse brûler les plats et oublie des ingrédients et que donc j’ai fait d’énormes efforts pour ce challenge. Syl, je suis very very désolée… En même temps, je ne sais plus quand est-ce qu’il s’arrête et je peux mettre la recette de la galette que je vais faire cet après midi en ligne avec la photo (je bloquerai l’accès à l’appareil photo à mon cher et tendre…).

Challenge Anne Perry chez Syl : Thé lectures et macarons
J’ai lu trois livres et j’ai au moins quatre autres en attente. Je dirai que ce challenge est réussi car il m’a fait découvrir une auteure que j’apprécie énormément !!!

Et bien entendu, la logique voudrait que j’arrête les challenges (comme les RV dans la semaine, le mois, etc.) que je ne peux pas honorer (je travaille à temps plein, j’ai un mari -parfaitement autonome mais quand même- , un enfant de quatre ans, des amis à voir le WE, un appartement à ranger et une PAL à vider). Bah, non. Je vais quand même recommencer car ça me démange (oui, c’est poétique 2013).

Donc, en cette nouvelle année 2013, je me lance dans le challenge d’ Enna : le petit bac 2013 !

Je pense avoir des difficultés pour le dernier item mais j’ai toute l’année. J’ai décidé que ce ne serait que des romances (j’essaye de faire de la pub au genre, propager la force rose). Je n’ai pas établi ma liste mais j’ai bonne espoir d’avoir déjà bon nombre de catégories en stock dans ma PAL.

Voici le réglement :

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PRENOM : ou surnom…


LIEU : réel ou imaginaire … ville, pays, état, continent, fleuve, mer, lieu naturel…, j’accepte « ici » et « là ». attention Je n’accepte pas les bâtiments (mais après réflexion j’accepte aussi « cimetière » parce que c’est un grand jardin avec des tombes…


ANIMAL : réel ou imaginaire… de l’insecte au dinosaure en passant par les licornes et les sirènes et les mots associés comme « animal », « bête », « bestiole »…


OBJET : petits ou gros, du moment qu’ils sont transportables.attention  J’accepte le mot « objet » mais je n’accepte pas  « maison » ou « immeuble » par exemple.


COULEUR : Toutes les couleurs que l’on peut trouver dans les catalogues de peintures sont acceptées 😉 et aussi les mots « couleur », « teinte », « nuance »…


PARTIE DU CORPS  : de la tête aux pieds en passant par les organes internes… J’accepte aussi « corps », « sang », « rides » et « cicatrice » mais  attention pas « larmes » et tout ce qui est rajouté au corps (pas de « tatouage » ou « piercing »…)


PHENOMENE METEOROLOGIQUE : pluie, vent, tempête, ouragan, soleil, nuages, canicule, neige, froid, chaleur, etc… et les 4 saisons ainsi que les mots « temps » et « météo »…


ALIMENT / BOISSON : tout ce qui se mange ou se boit : légumes, fruits, viandes, poissons, plats préparés, ingrédients pouvant être utilisés dans une préparation culinaire (condiments, herbes, épices…), boissons alcoolisées ou non, chaudes ou froides et l’eau aussi. J’accepte aussi « repas », « plat », « aliment » et « boisson »…


CHIFFRE/NOMBRE : de zéro jusqu’au milliard… J’accepte aussi les ordinaux (premier, deuxième, etc…) attention je n’accepte pas « un » quand c’est l’article indéfini dans le titre ou les numéros de tomes dans des séries…


SENTIMENT : amour, haine, tristesse, joie, peine, angoisse, etc… et mots associés « larmes », « rires », « sourire », « pleurs »…


GROS MOT (bonus facultatif) : assez libre puisque j’accepte tout ce qui peut être dit d’un ton insultant ou méprisant… Ça va de « zut », « flûte », « crotte » jusque aux grosses insultes bien vulgaires en passant par des grossièretés plus fleuries à la Capitaine Haddock!

De manière générale, si je trouve des challenges où je peux participer avec des romances, je prendrai.
Sur ce, je vais essayer de faire le bilan de décembre et écrire quelques billets avant de préparer ma rentrée de demain (je ne veux pas retourner travailler ….. ).

Celle que j’attendais de Sherry Thomas

Quatrième de couverture :

Bon voyage, mon oncle. Revenez-nous vite ! La voiture disparue, le sourire d’Elissande s’évanouit. Son oncle, elle le hait pour ce qu’il leur inflige, à elle et à sa tante, depuis tant d’années. A Highgate Court où elles vivent coupées du monde, les brimades pleuvent, pourtant il faut jouer la comédie et toujours sourire en l’honneur de ce monstre. Elissande pourrait fuir, mais il n’est pas question qu’elle abandonne sa tante. Alors elle donne le change et espère, jusqu’au jour où elle rencontre le marquis de Vere. Elle n’a que trois jours pour l’épouser avant le retour de son bourreau. Elle ignore que, comme elle, Vere n’est pas celui qu’il prétend être…

Ma lecture :
Sherry Thomas ne fait pas dans la bluette de roman historique. Ses héros sont des personnages tourmentés avec des souffrances psychologiques fortes.
Dans ce roman, Elissande essaye de fuir la tyrannie de son oncle, un vrai psychopathe. Elle a un caractère fort, manipulateur et l’on ressent ses angoisses tout le long du récit.
Vere est un héros beau comme Adonis mais bête comme ses pieds. C’est un personnage complexe également et je trouve l’histoire très bien trouvée.
Il y a un vrai suspens, de nombreuses péripéties et la seconde histoire d’amour a capté mon intérêt également.
Pour résumer, un bon roman avec beaucoup de noirceurs (pour cette collection) et un très bon suspens.
Ma note : 4/5
                                                                       10/108
tous les livres sur Babelio.com

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Tsubaki : le poids des secrets/1 d’Aki Shimazaki

Quatrième de couverture :

Dans une lettre laissée à sa fille après sa mort, Yukiko, une survivante de la bombe atomique, évoque les épisodes de son enfance et de son adolescence auprès de ses parents, d’abord à Tokyo puis à Nagasaki. Elle reconstitue le puzzle d’une vie familiale marquée par les mensonges d’un père qui l’ont poussée à commettre un meurtre.
Obéissant à une mécanique implacable qui mêle vie et Histoire, ce court premier roman marie le lourd parfum des camélias (tsubaki) à celui du cyanure. Sans céder au cynisme et avec un soupçon de bouddhisme, il rappelle douloureusement que nul n’échappe à son destin.

Ma lecture :

Ce livre n’est pas épais (114 pages) mais il est costaud. Il faut être en forme pour le lire mais ce serait vraiment dommage de passer à côté.
La narratrice nous raconte comment son fils en se posant des questions sur sa famille a fait remonter à la surface l’histoire de sa grand-mère. Dans ce livre est intimement imbriqué une histoire familiale sordide avec une des plus grandes catastrophes humaines , la seconde bombe atomique, en arrière fond.
L’histoire de cette bombe est replacée dans son contexte : les causes, la manière, et toute la souffrance de la grand-mère est expliquée en parallèle.
Le récit est simple, économe en mots et en sentiments.
En effet,  il n’y a pas besoin d’explications pour ressentir toutes ces émotions. Les faits suffisent amplement.

Un livre qui marque aussi bien par sa forme que par l’histoire en elle-même.

Ma note : 5/5

Elles l’ont lus également : Anne, Theoma, Keisha, entre autres.

                                                                  9/108

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L’école des femmes de Molière

Quatrième de couverture :

A quarante ans, Molière commet la plus grande folie de sa vie, dont naîtra l’une de ses plus belles pièces. Il épouse Armanda Béjart, une gamine qui va le tromper et l’outrager publiquement, comme Agnès va anéantir l’homme qui voulait faire d’elle sa prisonnière, lui interdire le monde , les pensées, les sentiments. C’est Arnolphe bouffon et pitoyable , aveugle et fou , c’est Molière, et c’est l’amoureux de tous les temps ensorcelé par une femme-enfant insensible et féroce.  » chose étrange d’aimer, et que pour ces traîtresses, les hommes soient sujets à de telles faiblesses…  » les posséder , C’est impossible. Les laisser vivre , Insupportable . l’Ecole des femmes est une farce et une tragédie. Un conte éternel. Arnolphe, bourreau de lui-même, et Agnès , l’innocente perverse, sont des énigmes, de celles que nous ne résoudrons jamais.

Ma lecture :

J’aime le fait qu’en lisant des pièces de Molière, je me rende compte que beaucoup de choses sont restées pertinentes. Cette pièce est délicieuse car le personnage d’Arnophle est terrorisé à l’idée d’être cocu et donc essaye de modeler une jeune fille à ses souhaits. La scène où il donne le livre avec les différentes règles à respecter pour être une « bonne » femme est lecture mémorable.
J’en rigolais en me disant que si elle les respectait, même son mari ne sera plus du tout tenté de toucher à sa femme.
Le passage où il narre les différences entre les hommes et les femmes est drôle tellement ce discours paraît absurde pour une femme française de trente ans ; drôle pour moi mais malheureusement tellement actuel pour bon nombres de femmes d’autres pays.
Bien sûr, c’est également une comédie donc certaines répliques sont drôles mais j’ai trouvé que le fond de la pièce était quand même plus tragique que ce à quoi je m’attendais.
P.S : Je me suis surprise à trépigner quand je n’avais pas l’opportunité de terminer le livre (chose qui m’arrive rarement avec des livres du XVII ème siècle !).

Ma note : 5/5

                                                              8/108

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Comment séduire un marquis ? de Julia Quinn

Quatrième de couverture :

Elizabeth Hotchkiss doit impérativement se marier pour subvenir aux besoins de sa famille mais elle ne sait pas comment faire pour envoûter un riche et doux époux ?

Ma lecture :

J’ai beaucoup aimé cette histoire.
L’héroïne est une jeune femme loin d’être une godiche, qui a la responsabilité de ses deux soeurs et de son frère (personnages très attachants d’ailleurs) et qui a besoin d’argent. Elle est la dame de compagnie de Lady Danbury (personnage rencontré dans la chronique de Bridgerton et qui laisse forcément un souvenir mémorable).
Et là, elle découvre un livre intitulé « Comment séduire un marquis ? ». Aubaine, surtout que là-dessus arrive un nouveau régisseur qui peut très bien servir de cobaye.
J’ai adoré, Elizabeth est maladroite, a la langue bien pendue, Lady Danbury est une femme attachante avec son mauvais caractère et James est irrésistible.

J’ai passé un très bon moment à lire l’évolution de cette histoire, ses dialogues et a passé du temps avec ses protagonistes attachants.

Ma note : 4/5

C’est un peu compliqué, il était dans ma PAL 2011 mais j’ai oublié de le noter dans la liste. Mais comme pour chaque livre lu de 2011, j’ai le droit d’en racheter un en 2012, je ne pouvais pas ne pas le mentionner dans ce challenge. Donc, c’est un livre 2011 non officiel, donc non décompter.

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Miss la gaffe se marie de Meg Cabot

Quatrième de couverture :

Lizzie n’en croit pas ses oreilles: le beau Luke, de retour à New York, vient de la demander en mariage! Abasourdie, elle accepte sans même réfléchir. Mais, très vite, le rêve tourne au cauchemar. Lizzie a de plus en plus de travail depuis qu’elle a confectionné la robe de mariée d’une star. Luke passe son temps à étudier, à croire que le mariage n’est pas vraiment sa priorité… Quant à Chaz, le meilleur ami de Luke et futur témoin, il désapprouve totalement cette union! Lizzie est-elle vraiment prête à devenir la nouvelle maîtresse du château Mirac? Luke est-il vraiment le mari idéal? Et si le véritable amour était ailleurs? …

Ma lecture :

J’ai beaucoup aimé les encarts qui séparent chaques chapitres sur le mariage. J’ai trouvé ça très intéressant à lire (pourquoi l’alliance à l’annulaire gauche, pourquoi les garçons d’honneur…).
Pour l’histoire en elle-même, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de redondances, que l’héroïne se plaignait beaucoup de ses histoires de coeur alors que ma foi, il faut déjà avoir l’occasion d’avoir deux mecs plus potables à vous courir après. Et puis toujours cette frustration de ne pas avoir fait plus connaissance avec la grand-mère. Bref, je résumerai ce livre en disant : « frustration !!!!!!!!! ».

Ma note : 2/5

                                                                   7/108

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Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie

Quatrième de couverture :

Dans la Chine de Mao, savoir lire, c’est déjà faire partie des intellectuels. Et on ne badine pas avec les intellectuels : on les envoie se rééduquer dans les campagnes, travailler dans des rizières ou dans des mines. C’est ce qui est arrivé au narrateur et à son ami Luo, si jeunes et déjà marqués du sceau infamant d' »ennemis du peuple ». Pour ne pas sombrer, ils ont heureusement encore quelques histoires, quelques films à se raconter, mais cela fait bien peu. Jusqu’à ce que, par miracle, ils tombent sur un roman de Balzac : petit livre à lire en cachette, tellement dangereux, mais tellement magique, qui changera le cours de leur vie en leur ouvrant la porte de la fille du tailleur, en rendant possible ce qui ne l’aurait jamais été… Il fallait oser confronter le monde de Balzac et la Chine de Mao : Dai Sijie, réalisateur renommé qui vit en France, a réussi cet improbable pari et on lit avec enthousiasme et frénésie ce premier roman parfaitement maîtrisé.

Ma lecture :

J’ai adoré. Je l’ai lu en 24 heures, même en marchant lol!
Ce livre fait partie pour moi d’un des livres les plus beaux, les plus « magiques » que j’ai lu.
L’auteur nous narre la vie de deux jeunes hommes partis en « reéducation » en 1971 dans les montagnes en Chine, à la période de Mao.
Leurs conditions de vie étaient horribles. Ils ont travaillé dans des mines de charbon dont ils n’étaient pas sûrs de sortir vivant. Je trouve que c’est vraiment quelque chose de fabuleux de réussir à faire un récit pareil avec une aussi grande habileté car la narration est douce, les phrases sont simples et l’on ressent très bien les sentiments du narrateur.
J’ai aimé la poésie de cette histoire malgré le contexte et les conditions horribles de vie. J’ai aimé l’espoir et l’énergie des protagonistes.
Le passage qui m’a le plus ému est quand le narrateur se rend compte de ce que le gouvernement a voulu le priver (les livres), de la magie des histoires.
Je me suis régalée des passages où ils racontent leur séance de conte aux habitants.
Quelle magnifique éloge de la lecture !
Je me suis vraiment sentie transportée par cette quête de livres, cette soif d’histoires, cette magie transmise à la petite tailleuse et aux autres habitants. Comme une lumière qui attirait les personnes malgré leur positionnement « contre les intellos ». Le pouvoir d’attraction de l’imaginaire sur les hommes, l’envie de rêver profondément ancré dans chaque personne.
J’ai trouvé les passages avec la petite tailleuse très beau, plein de respect et de tendresse.
Vraiment fabuleux.  Bref, je suis emballée !!!!!!

Ma note : 5/5

                                                                6/108

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L’été où je t’ai retrouvé de Jenny Han

Quatrième de couverture :

Belly avait l’habitude de compter fébrilement les jours avant ses retrouvailles avec Conrad et Jeremiah, dans la maison de la plage. Mais depuis que Susannah, la mère des garçons, est morte, rien n’est plus comme avant. Conrad s’est renfermé sur lui-même et il ignore Belly qu’il a pourtant aimée l’été passé. Quand Jeremiah appelle la jeune fille à l’aide car Conrad a disparu, la jeune fille décide de tout faire pour retrouver celui qui fut son premier amour… Belly et Jeremiah prennent la route vers le seul endroit où Conrad a pu se réfugier : la maison de la plage…

Ma lecture :

Je trouve ce livre très intéressant car il parle du deuil d’une personne chère vécu par des adolescents.
Comme on connaît bien les protagonistes du fait que c’est la suite de ce livre, j’ai plongé dans l’histoire de suite.
Belly m’a énervé, c’est une adolescente qui est pourrie-gâtée et nombriliste au possible (en même temps, c’est l’adolescence…). J’en avais marre qu’elle radote toujours avec son histoire avec Conrad et qu’elle ne passe pas à autre chose. Jeremiah est toujours aussi attachant.
Cette histoire m’a pas plu, Belly est trop présente et l’histoire tourne trop autour d’elle et de ses indécisions.
J’en garderai pas un bon souvenir.
Je ne vais même  pas lire la suite car je suis sûre que je serai déçue.

Ma note : 2/5

Les blogs qui en parlent également :
– Stephie l’a lu et l’a beaucoup appréciée, elle 😉
;
-VHS beaucoup moins
;
– forcément je n’avais pas trouvé l’avis de Karine 😉 (en anglais c’est nettement moins évident pour moi) : elle l’avait beaucoup apprécié !

                                                                  5/108

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Ensorcelée – Les Chicago Stars 4 de Susan Elizabeth Phillips

Quatrième de couverture :

Si les petits boulots et les salaires de misère sont son lot quotidien, Rachel Stone n’est pas femme à se laisser décourager. Aussi, pour Edward, son fils, elle est prête à tout. Jusqu’à retourner à Salvation. Une ville qu’elle donnerait cher pour oublier… D’abord, elle doit trouver un nouveau job. Un poste est à pourvoir dans le drive-in de Gabriel Bonner? La chance lui sourit-elle enfin ? C’est compter sans le propriétaire qui n’a que faire de ses soucis. Mais elle n’a pas la moindre intention de modifier ses projets. Car, si elle est revenue dans cette maudite ville, c’est pour une raison bien précise…

Ma lecture :

Je n’ai pas réussi à lire ce livre avant la page 50.
Je n’aurai pas aimé les trois premiers, je n’aurai pas fait l’effort de lire celui-ci.
Le style de Susan Elizabeth Phillips n’est pas un style auquel on pourrait s’attendre dans ce genre de collection. Elle met en page des histoires qui ne sont pas des histoires toutes lisses où le seul problème des héros est de savoir si ils aiment ou pas la personne en face. Dans ce tome ci, l’héroïne est la veuve d’un télévangéliste qui arnaque les gens. Elle est seule avec son enfant de quatre ans et elle cherche à retrouver la fortune de son mari. Donc elle retourne à Salvation, la ville où ils habitaient. Elle rencontre le frère de Cal (le héros du tome 3) qui est un homme au bord du suicide à cause du décès de sa femme et de son fils il y a deux ans. Vous comprenez mieux ma mise en garde précédente 😉

Cette histoire m’a happé, je l’ai lu en une soirée tellement les personnages avec leurs souffrances me passionnaient. Il n’y a pas de saints, ce sont juste des personnes qui essayent de garder la tête en dehors de l’eau et de se battre pour survivre. L’histoire du frère de Gab et Cal est également en arrière fond et est beaucoup plus légère.

J’ai beaucoup aimé ce ton résolument humain et réel (il n’y a pas de solutions magiques).

Ma note : 3/5

                                                                 4/108

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A la grande ville – Miss Lagaffe tome 2 de Meg Cabot

Quatrième de couverture :

Après des vacances en Europe, Lizzie pose sa valise à New York, dans le superbe appartement de son amoureux, le beau Luke. Il lui faut aussi travailler. Venir en aide à la fiancée d’une grosse fortune de la ville, voilà un vrai métier. Mais bientôt, Lizzie ne sait plus où donner de la tête, entre sa cliente infernale, son prince charmant pas si charmant, et sa meilleure amie en pleine crise.

Ma lecture :

Lizzie est en couple. Elle cherche du travail à New-York dans une boutique vintage et a du mal à en trouver. D’autre part, elle vit avec son copain et s’imagine déjà en mariée.

Et bien, ces trois lignes résument la moitié du livre… et le livre est long (379 pages).
La question est pourquoi continuer la lecture de ce livre. Tout simplement parce que je me suis dit que ce n’était pas possible que Meg Cabot n’est pas écrite une histoire drôle, qu’elle est crée une héroïne gnangnante.

Résultat : Je suis déçuuuuuuuuuuuuuuuuueeeeeeeeee comme pas permis. Ca aurait pu être génial :
– la grand-mère a un potentiel comique digne de la grand-mère de Stéphanie Plum (c’est pas peu dire tout de même, je rappelle que celle-ci a réussi à tirer dans le croupion d’une dinde lors d’un repas familial).
– les histoires de mariées : il y en a quinze à la douzaine qui aurait pu être intéressantes

Je vais m’arrêter là en espérant que le tome 3 va compenser ma déception de celui-ci.

Ma note : 2/5

                                                                3/108

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