Sortez vos mouchoirs, mesdames. C’est tellement beau ….

Pour mon retour sur le blog, voici un article que je n’avais pas publié alors que c’est un des meilleurs aventures et passion que j’ai pu lire (honte à moi ! )

Ne me demandez pas pourquoi ça s’appelle les amants de Londres alors que presque toute l’histoire à lieu dans des domaines en périphérie mais bon, ne nous arrêtons pas à des détails.

Ainsley (ça m’a embrouillé du début à la fin ce prénom – pour cause) a eu un accident avec son meilleur ami, Walfort. consécutivement à cet accident, Walfort est devenu paraplégique. Il fait culpabiliser Ainsley (il serait responsable de l’accident) et lui demande de faire un enfant à sa femme. Celle-ci n’est pas du tout d’accord car elle déteste Ainsley. Il est responsable de tout ce gachis et paraît, en plus, ne pas se sentir coupable. Elle finit par céder sous la pression de son mari et part un mois avec Ainsley. Il s’avère qu’Ainsley est un homme tendre et attentionné qui fait beaucoup d’effort pour essayer de se faire pardonner. Jayne est une jeune femme courageuse et dévouée qui rêve d’être mère et qui a vu sa vie s’effondrer consécutivement à une beuverie de son mari et de son ami. Elle se résout à suivre cet homme qu’elle déteste et elle se retrouve à vivre une parenthèse enchantée mais tellement culpabilisante.
Je ne vous raconterais pas la suite sinon ce serait spoiler mais sachez que l’histoire est loin d’être finie et qu’il va y avoir des rebondissements aussi bien au niveau des héros que des personnages secondaires. J’ai passé un très agréable moment avec ces héros qui sont émouvants et courageux.  J’ai eu presque les larmes aux yeux par moment et tempêté à d’autres (mais je ne dirai rien….).

Bref, si vous aimez les déchaînements de grands sentiments tout en délicatesse et rouspétez après les enfoi**s  l’injustice, ce livre est pour vous !

Ma note : 5/5 (mais je pense arrêter de noter car je trouve qu’il y a trop de 5/5 sur ce blog- je dois être trop indulgente).

Le crime de Paragon Walk d’Anne Perry

Quatrième de couverture :

Londres, 1884. La luxueuse avenue de Paragon Walk s’éveille en plein drame : une innocente jeune fille de dix-sept ans, Fanny Nash, y a trouvé la mort, violée et étranglée. L’inspecteur Pitt est chargé de l’affaire. Sa tâche s’avère encore plus délicate que d’habitude. Une nouvelle fois confronté à l’aristocratie, il va aussi devoir enquêter chez Lady Emily Ashworth, la soeur de sa chère épouse Charlotte ! Fanny a été agressée alors qu’elle revenait de chez Emily et George, son mari, reste très évasif sur son emploi du temps au moment du crime. Cacherait-il quelque chose ? L’enquête piétine. Bien décidée à percer le mystère, Emily entraîne Charlotte dans les réceptions mondaines. À la quête des petits secrets qui cachent les grandes dépravations, elles démasqueront un coupable complètement inattendu.

Brillante critique sociale de l’aristocratie anglaise de la fin du XIXe siècle, cette troisième enquête de l’inspecteur Pitt, secondé par Charlotte et Emily, conjugue ambiance pesante et coups de théâtre qui raviront le lecteur. –Sophie Colpaert

Ma lecture :

On retrouve dans cette histoire tout ce qui fait le charme des lectures de cette auteure : l’époque victorienne, les personnages finement décrits, l’histoire au suspens haletant.
Cet opus se démarque des deux premiers tomes de Charlotte et Pitt car on est définitivement pas aux pays des petits oiseaux qui chantent.  Outre le fait qu’il s’agisse de viol et de meurtres, les couples que l’on aimerait voir uni ne le sont pas autant que l’on le souhaiterait, les mascarades sont dures à réveler, les faiblesses des uns et des autres sont montrées d’une manière brutale et sans concession. Ils ont beaux être riches à Paragon Walk, il n’empêche qu’ils font pitié avec leur suffisance et leur morale à deux vitesses.
Comme vous pouvez le lire, j’ai trouvé cette histoire plus violente malgré le fait que les crimes soient moins nombreux que dans « l’étrangleur de Cater Street ». Je pense que c’est du au fait qu’il y a moins de personnages qui inspirent de la sympathie et que les héroïnes, Charlotte et Emily, sont plus touchées dans leur choix de vie.
Je recommande chaudement la lecture de cette histoire qui est une merveille d’intrigues policières et d’observations psychologiques.

ma note : 5/5

Livre qui rentre dans le challenge Anne Perry de Syl chez Thé, lectures et macarons

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Tsubaki : le poids des secrets/1 d’Aki Shimazaki

Quatrième de couverture :

Dans une lettre laissée à sa fille après sa mort, Yukiko, une survivante de la bombe atomique, évoque les épisodes de son enfance et de son adolescence auprès de ses parents, d’abord à Tokyo puis à Nagasaki. Elle reconstitue le puzzle d’une vie familiale marquée par les mensonges d’un père qui l’ont poussée à commettre un meurtre.
Obéissant à une mécanique implacable qui mêle vie et Histoire, ce court premier roman marie le lourd parfum des camélias (tsubaki) à celui du cyanure. Sans céder au cynisme et avec un soupçon de bouddhisme, il rappelle douloureusement que nul n’échappe à son destin.

Ma lecture :

Ce livre n’est pas épais (114 pages) mais il est costaud. Il faut être en forme pour le lire mais ce serait vraiment dommage de passer à côté.
La narratrice nous raconte comment son fils en se posant des questions sur sa famille a fait remonter à la surface l’histoire de sa grand-mère. Dans ce livre est intimement imbriqué une histoire familiale sordide avec une des plus grandes catastrophes humaines , la seconde bombe atomique, en arrière fond.
L’histoire de cette bombe est replacée dans son contexte : les causes, la manière, et toute la souffrance de la grand-mère est expliquée en parallèle.
Le récit est simple, économe en mots et en sentiments.
En effet,  il n’y a pas besoin d’explications pour ressentir toutes ces émotions. Les faits suffisent amplement.

Un livre qui marque aussi bien par sa forme que par l’histoire en elle-même.

Ma note : 5/5

Elles l’ont lus également : Anne, Theoma, Keisha, entre autres.

                                                                  9/108

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L’école des femmes de Molière

Quatrième de couverture :

A quarante ans, Molière commet la plus grande folie de sa vie, dont naîtra l’une de ses plus belles pièces. Il épouse Armanda Béjart, une gamine qui va le tromper et l’outrager publiquement, comme Agnès va anéantir l’homme qui voulait faire d’elle sa prisonnière, lui interdire le monde , les pensées, les sentiments. C’est Arnolphe bouffon et pitoyable , aveugle et fou , c’est Molière, et c’est l’amoureux de tous les temps ensorcelé par une femme-enfant insensible et féroce.  » chose étrange d’aimer, et que pour ces traîtresses, les hommes soient sujets à de telles faiblesses…  » les posséder , C’est impossible. Les laisser vivre , Insupportable . l’Ecole des femmes est une farce et une tragédie. Un conte éternel. Arnolphe, bourreau de lui-même, et Agnès , l’innocente perverse, sont des énigmes, de celles que nous ne résoudrons jamais.

Ma lecture :

J’aime le fait qu’en lisant des pièces de Molière, je me rende compte que beaucoup de choses sont restées pertinentes. Cette pièce est délicieuse car le personnage d’Arnophle est terrorisé à l’idée d’être cocu et donc essaye de modeler une jeune fille à ses souhaits. La scène où il donne le livre avec les différentes règles à respecter pour être une « bonne » femme est lecture mémorable.
J’en rigolais en me disant que si elle les respectait, même son mari ne sera plus du tout tenté de toucher à sa femme.
Le passage où il narre les différences entre les hommes et les femmes est drôle tellement ce discours paraît absurde pour une femme française de trente ans ; drôle pour moi mais malheureusement tellement actuel pour bon nombres de femmes d’autres pays.
Bien sûr, c’est également une comédie donc certaines répliques sont drôles mais j’ai trouvé que le fond de la pièce était quand même plus tragique que ce à quoi je m’attendais.
P.S : Je me suis surprise à trépigner quand je n’avais pas l’opportunité de terminer le livre (chose qui m’arrive rarement avec des livres du XVII ème siècle !).

Ma note : 5/5

                                                              8/108

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Duo à quatre d’Emily Giffin

Quatrième de couverture :

Darcy poursuit un but unique : être la plus belle, la plus populaire. Elle vit superficiellement, avec, pendus à son bras, des sacs de luxe et un fiancé au pedigree exceptionnel. Son boulot, dans les relations publiques, lui permet d’étaler ses multiples dons tout en étant payée pour cela. Tout est donc parfait, du moins selon le point de vue de Darcy. Jusqu’au jour où sa meilleure amie lui vole son séduisant fiancé. Enceinte d’un amant éphémère, Darcy n’a plus qu’une seule solution : s’enfuir à Londres et s’installer chez son ami d’enfance, Ethan. Là, elle tente de recréer sa vie glamour mais connaît ses premiers échecs. C’est alors qu’elle découvre la joie de la maternité et les vraies valeurs de l’amitié et de l’amour… Duo à quatre est le portrait amusant et plein de charme d’une jeune femme qui apprend le véritable sens du bonheur, loin des apparences d’une vie superficielle et mondaine.

 

 

Ma lecture :

Cette lecture est atypique. L’héroïne m’a tellement énervée que j’ai survolé toute la première partie et j’ai commencé à le livre « correctement » qu’au moment où l’héroïne arrive en Angleterre. A partir de ce moment, Darcy m’a paru digne d’intérêt et avoir une capacité de changer. De plus, Ethan, l’ami chez qui elle va habité est un personnage réellement attachant, humain, doux et c’est surtout pour lui que j’ai lu l’histoire.

J’ai aimé lire l’évolution de Darcy, ses doutes, sa détresse.

J’ai beaucoup aimé la fin.

Une lecture atypique.

 

 

 

 

Ma note : 3/5

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Don Juan de Molière

Quatrième de couverture :

« L’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus » : voilà comment Dom Juan se justifie auprès de son valet Sganarelle, scandalisé de voir son maître tromper tout le monde autour de lui, des femmes les plus naïves qu’il séduit sans vergogne aux hommes les plus nobles qu’il mène par le bout du nez sans se démonter. De fait, Dom Juan n’a qu’une ambition : jouir de tous les plaisirs, sans jamais céder aux sirènes de la morale. Il lui faut toutes les voluptés et il les obtient facilement en manipulant ses victimes avec des mots trompeurs. Seule la mort pourrait l’arrêter : n’est-ce pas elle justement qui vient le chercher, lorsque la statue du commandeur s’anime sous ses yeux ?

Débauché fameux ou épicurien averti, Dom Juan a suscité tous les débats, toutes les polémiques, toutes les analyses et, encore une fois, c’est Molière que l’on applaudit, lui qui n’a pas son pareil pour désigner et railler, mi-amer, mi-goguenard, les travers de la société.

Pourquoi ce livre ?

Toujours pour la Culture et surtout car j’adore le théatre.

Ma lecture :

Cette pièce m’a beaucoup surprise. Quelle liberté de ton ! Don Juan épouse à tout va toutes les femmes qu’il désire. Il se moque de l’église, de la punition de Dieu, de la société, de la médecine. Il se fiche de l’avis de son père, de la morale de son valet.

Cette pièce n’est pas du tout drôle mais est très étonnante. La fin m’a laissé débutative. Je ne sais pas trop quoi en penser.

Une pièce très intéressante donc !

Ma note : 4/5

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Histoire de Mr le marquis de Cressy de Mme Riccoboni

Quatrième de couverture :

 » Le marquis trouva le moyen de lever les faibles scrupules d’Hortense ; elle se donna à lui ; elle oublia la tendresse et les bontés d’une amie, pour jouir du goût passager d’un amant. Quelle différence ! Quelle perte ! Quoi qu’on en puisse penser dans l’égarement de son cœur, un amant ne vaut pas une amie. « 

Pourquoi ce livre ?
Pour le challenge demoiselle de lettres du forum Whoopsy Daisy. C’est ma lecture pour le XVIIIème siècle.

Ma lecture :
Déjà, j’adore la couverture. Elle est super jolie.
J’ai beaucoup aimé l’écriture de l’auteure. C’est un style délicat mais vif (sans circonvolutions). L’histoire est belle, la femme de Mr le marquis de Cressy est un personnage attachant. C’est une femme admirable.
Mr le marquis de Cressy est un homme faisant du tort mais que j’ai finalement plaint.
Mon avis n’est pas bien épais mais le livre ne l’est pas non plus !
J’ai bien aimé ce livre.
Ma note : 4/5

Loving Frank de Nancy Horan

Quatrième de couverture :

En 1903 à Chicago, l’homme d’affaires Edwin Cheney et son épouse Mamah Borthwick Cheney passent commande de leur nouvelle maison à l’enfant terrible et déjà célèbre de l’architecture américaine, Frank Lloyd Wright.

Six années plus tard, la bonne société de Chicago et la presse américaine sont secouées par le plus grand scandale de ce début de siècle : Mamah, tombée entre temps passionnément amoureuse de Frank, quitte Edwin et leurs deux enfants pour suivre l’architecte renommé en Europe. Lui-même abandonne sa femme Catherine et six enfants pour vivre cette passion.

Berlin, Florence puis Paris pendant la grande crue de 1910, voient passer enlacés autour de leur liberté amoureuse hantée pourtant par la culpabilité, ces amants exceptionnels qui défraient la chronique de l’Amérique dévote et pudibonde du vingtième siècle naissant…

Mais les tabloïds américains les plus fertiles et les plus sensationnalistes n’auraient jamais pu imaginer comment l’histoire de ce couple sulfureux allait exploser en 1914 après  leur retour aux Etats-Unis. La violence du dénouement laissera pétrifiés, au-delà des familles déchirées Cheney et Wright,  le monde des architectes, des féministes et des moralistes de bon ton…

Captivante fiction historique documentée par l’autobiographie de Frank Lloyd Wright, par les lettres de Mamah Borthwick et par les très nombreux articles dans la presse de l’époque, Loving Frank mêle tout à la fois intrigue amoureuse, émancipation féminine et une plongée dans l’univers d’un des plus grands maîtres de l’architecture moderne…

Pourquoi ce livre ?

Je ne sais plus… Mais je devais le lire avec Zarline et je n’ai pas tenu mes délais (encore désolée…).

Ma lecture :

Qu’elle a été éprouvante cette lecture. Ce n’est pas le style ni la plume de l’auteur mais l’histoire m’a chamboulée et j’ai eu du mal à le lire.

J’aime beaucoup le style de l’auteur, fluide, simple, doux avec de la sensibilité. L’auteur a réussi à me faire partager les sentiments de Mamah. J’ai été bouleversée par les pensées de l’héroïne, par l’épreuve d’honnêteté vis  à vis de soi-même et des autres qu’elle a traversé. Le choix qu’elle a fait n’était facile ni dans un cas (rester avec sa famille) ni dans l’autre (tout quitter pour l’homme qu’elle aime). On vit ses déchirements, on partage ses réflexions sur sa vie de femme et d’intellectuelle.

J’ai arrêté de le lire pendant un longue période car je n’arrivais pas à surmonter le fait qu’elle est laissée ses enfants. Maman, moi-même, c’était un déchirement de lire son vécu. Elle assume ses choix, ne se plaint pas.

Un très bon livre qui m’a fait vibré.

Ma note : 5/5

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Mange prie aime d’Elizabeth Gilbert

Bonne année à vous tous ! Que cette année vous apporte plein de bonnes choses !

Quatrième de couverture :

A trente et un ans, Elizabeth possède tout ce qu’une femme peut souhaiter : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Pourtant, elle est rongée par l’angoisse et le doute.
Un divorce, une dépression et une liaison désastreuse la laissent encore plus désemparée. Elle décide alors de tout plaquer pour partir seule à travers le monde !
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les « douze kilos les plus heureux de sa vie » ; en Inde, ashram et rigueur ascétique l’aident à discipliner son esprit et, en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver cet équilibre qu’on appelle le bonheur…
Et qui n’a jamais rêvé de changer de vie ?

Pourquoi ce livre ?

Il etait sur les gondoles du libraire et le titre m’a interpellé.

Ma lecture :

Ce livre arrive dans ma vie quand je me retrouve en pleine réflexion « théologique ». J’ai beaucoup aimé les trois quarts du livre (la partie sur l’Italie et sur l’Inde).

Les réflexions, les sentiments de la narratrice sont bien décrites, ses débats intérieurs, sa recherche du bien être et les coïncidences qui ponctuent sa vie m’ont passionné.

Ce livre m’a beaucoup apporté.

La troisième partie par contre, m’a paru longue et ne m’a pas beaucoup intéressée.

Un bon livre

Ma note : 4/5

PS : Je reprends tout doucement le blog. Je ferai un billet récapitulatif un peu plus tard, des challenges, des coups de coeur 2010 …

Objectif PAL Septembre : Les 10 femmes de l’industriel Rauno Ramekorpi d’Arto Paasilinna

Quatrième de couverture :

Rauno Rämekorpi, un riche industriel finlandais, fête ses soixante ans. Comme le veut la coutume, les invités ont afflué chez le héros du jour les bras chargés de cadeaux et de fleurs. Mais Mme Rämekorpi est allergique au pollen et Rauno se voit donc prié, à peine le dernier convive parti, de convoyer les fleurs à la décharge sans même prendre la peine d’ôter sa queue-de-pie. En chemin, l’heureux sexagénaire a soudain une bien meilleure idée : il offrira les bouquets à ses nombreuses maîtresses. Commence alors une tournée qui va mener ce noceur impénitent d’une alcôve à l’autre dans un déluge de libations et de bonne chère. Hilares, nous suivons les drôles de péripéties de ce vieux séducteur et de ses décapantes compagnes. Le succès est tel que Rauno décide de réitérer sa généreuse virée à l’occasion des fêtes de fin d’année. Mais le vent semble entre-temps avoir tourné pour notre don Juan déguisé en Père Noël… Une farce aux accents rabelaisiens, une réjouissante galerie de portraits de femmes victimes d’un héros qu’on adorera détester! Traduit du finnois.

Pourquoi ce livre ?

Il y avait eu beaucoup de critiques sur mon monde bloguesque et donc la tentation fut grande de le lire quand je l’ai trouvé à la bibliothèque.

Ma lecture :

L’histoire est drôle. La logique des personnages est atypique.
Rauno Ramekorpi a fait une tournée pour ses soixante ans de ses anciennes maîtresses et s’en trouve de nouvelles.
Accompagné de son chauffeur de taxi, il distribue des fleurs, du champagne et du caviar. Ce sont des rencontres atypiques avec leur logique propre.
Comme cette tournée lui a beaucoup plu (quelle santé d’ailleurs !), il récidive pour Noël.

Je me suis ennuyée pendant cette lecture. Je pense que le fait de connaître le style de l’auteur en ayant lu « La douce empoisonneuse » est responsable du fait qu’il n’y est plus de grande surprise en lisant ce livre. De plus, il a beaucoup moins de rebondissements que dans l’autre livre.

Bref, bilan mitigé !

Ma note : 2/5

Ma google reader : amanda, Fantasio