Quatrième de couverture :
« Bas les masques », tel paraît être le mot d’ordre d’Anne Perry dans la série de romans où elle met en scène son couple de héros « victoriens », l’inspecteur Thomas Pitt et son épouse Charlotte, les personnages de roman policier les plus pittoresques et attachants qui nous aient été donnés à découvrir ces dernières années. Dans le Londres de la fin du XIXè siècle qui sert de cadre à leurs exploits, c’est en effet le code hypocrite de bonne conduite de la société anglaise de l’époque qui se trouve singulièrement mis à mal, sa corruption et sa fausse respectabilité. Anne Perry ou le polar au vitriol : décapant!
Ma lecture :
Voici une histoire atypique : un homme a été déterré et installé comme conducteur de cab. Puis redéterré et installé sur son banc à l’église. Mais enfin qu’est ce que c’est que cette histoire ? Aurais-ce été un meurtre masqué ?
L’intrigue est passionnante car elle a attrait à la politique, à l’histoire des hospices, à la manière dont la population pauvre survivait dans les bas fonds londoniens.
J’ai beaucoup aimé le rythme de l’histoire, les intrigues et j’aime définitivement l’inspecteur Pitt tellement atypique et d’une grande sagesse.
De plus, il y a des passages drôles entre les policiers.
Les romans de cette auteure se suivent et ne ressemblent pas.
Ma note : 4/5
Asphodèle l’a lu en même temps que moi !!!!
Ce billet fait parti du challenge chez Syl