Des cadavres trop bavards de David Baldacci

Quatrième de couverture :

S’étant fixé pour mission de contrôler les dérives du pouvoir américain, le Camel Club et son fondateur Oliver Stone se sont fait beaucoup d’ennemis, dont certains sont prêts à tout pour camoufler leurs activités illégales. Un à un, les proches de Stone succombent. Ce dernier est persuadé que ce massacre en règle est commandité par Harry Finn, un politicien irréprochable qui se targue d’une moralité exemplaire. En apparence… Oliver Stone poursuit son enquête, mais lorsque certains secrets remonteront violemment à la surface, il en sera changé à jamais.

Pourquoi ce livre ?

C’est un partenariat éditeur grâce à BOB et je voulais changer de genre littéraire, donc cette fois ci c’est un thriller.

Ma lecture :

Déjà, le résumé n’est pas bon.

Ce livre raconte l’histoire d’un homme d’un trentaine d’années, Harry Finn, qui cherche à venger sa famille en tuant des hommes. Mais qui sont ces hommes ? De la CIA ? Pourquoi les tuer ?
En même temps, Annabelle, une arnaqueuse professionnelle, réussit à dépouiller de 40 millions un propriétaire de casino. Elle demande de l’aide à un de ses amis, Stone, qui est le chef d’un club, le « Camel Club » dont les membres sont pour le moins atypiques et ayant des histoires plus ou moins louches.

Les deux histoires vont se rencontrer sur fond de passé d’agents secrets, de meurtres, etc.

Je ne suis pas une fan de thriller car pour ceux que j’ai pu lire, le héros était tellement génial qu’il n’y avait aucune chance pour pouvoir y croire, les histoires tellement tirées par les cheveux que s’en était lassant.

Mais pas celui-ci ! L’histoire m’a passionnée – je l’ai lu en deux jours (408 pages), j’ai aimé les personnages atypiques, j’ai aimé le contexte, j’ai été surprise par les rebondissements, j’avais hâte de tout comprendre.

Malheureusement, je ne peux pas dire grand chose de plus, sinon je dévoile tout ce qui fait l’attrait du livre !

Cette histoire est extrêmement bien goupillée et tient vraiment en haleine.

Un excellent thriller !

Ma note : 5/5

Merci beaucoup aux éditions Michel Lafon et à BOB !!!!!

La princesse de Clèves de Mme de La Fayette

Quatrième de couverture :


La Princesse de Clèves met en scène, à la cour du roi Henri II, un trio tragique : le duc de Nemours est épris de la princesse de Clèves, qui l’aime en retour, mais est adorée de son époux… Par refus de s’abandonner à une passion coupable, la princesse commet l’irréparable: elle avoue tout au prince. Et cet aveu central dont dépend l’issue du drame a fait couler beaucoup d’encre, ainsi que le résume la romancière Marie Darrieussecq: « Les premiers lecteurs de Mme de Lafayette, au XVIIe siècle, le jugèrent invraisemblable : quelle épouse pense devoir informer son mari de ses tentations adultères ? Au XVIIIe siècle, cet aveu, on l’a trouvé charmant. Au XIXe, immoral. Au XXe, idiot : mais qu’elle l’épouse donc, son bellâtre de cour! Et au début du XXe, on dit qu’il ne faut plus lire ce livre, mais c’est encore une autre histoire. »

Pourquoi ce livre ?

Pour le challenge au bon roman (voir étiquette colonne de droite), car il était dans la bibliothèque chez mes beaux parents (résidus des études littéraires de mes belles soeurs) et pour ma  culture littéraire.

Ma lecture :


Ce livre narre la vie d’une jeune fille belle, intelligente,etc. qui se marie sans amour. Elle est princesse et donc fréquente assidument la cour où elle découvre les histoires de cœur, d’arrangement, de cancans. Elle rencontre Mr de Nemours dont elle tombe amoureuse. Celui éprouve les mêmes sentiments  et essaye de l’approcher. Mais la rigueur et la morale de la princesse de Clèves la fait lutter contre cette passion.

J’ai failli laisser tomber cette lecture lors des premières pages car il n’était question que d’histoires de prince et de complot puis j’ai découvert l’héroïne avec intérêt et me suis attachée à cette histoire. C’est une belle histoire d’amour et une héroïne très digne à découvrir.

Ma note : 4/5

PS :  Cette lecture et celle de Virginia Woolf (Vers le phare qui n’est toujours pas terminé …) me fait dire que si un libraire s’amusait à mettre que des livres classiques dans sa librairie sous prétexte que ce sont « les bons romans », je n’y metterai jamais les pieds … Je préfère de loin la littérature contemporaine.

Le charme des après-midi sans fin de Dany Laferrière

Quatrième de couverture :

Le charme des après-midi sans fin, sans doute le livre de Dany Laferrière le plus autobiographique, nous conte une jeunesse haïtienne en une succession de brefs tableaux sur le cours des jours à Petit Goâve.
Manifeste d’amour adressé par l’auteur à Da, la grand-mère qui l’a élevé, mais aussi, sur fond de crise politique haïtienne, roman initiatique de l’adolescence, ce livre nous émeut par sa tendresse et sa justesse.
« Les mères passent leur temps à venir voir si leur fille n’est pas dans les parages du port. Comme toujours, les mères n’ont aucune idée de la façon donc cela se passe. Car si un type veut embrasser une fille; tu pex être sur qu’il ne restera pas sur le port avec elle. Mais les mères n’ont aucune idée de la réalité ».

Pourquoi ce livre ?

Pour le blogoclub bien sur !

Ma lecture :

Je n’aurai jamais lu ce livre si il n’avait pas été demandé par le blogoclub. En effet, ce n’est pas une littérature qui m’attirait et la 4éme de couverture ne m’inspirait pas.

Ce livre raconte l’adolescence d’un jeune homme à Haïti dans une petite ville.

Il vit avec sa grand mère, Da, qu’il aime tendrement. Vieux os, le narrateur, est occupé par ses amours (Vava, la fille qui lui tourmente le coeur, Fifi qui lui court après) et ses copains.

La vie est ponctuée par les bagarres organisées, les promenades sur le port, les visites des habitants à sa grand-mère, les histoires d’esprit et de fantômes.
Un jour, un couvre feu est instauré car il y a une crise politique, et là, la vie de Vieux Os change…

J’ai beaucoup aimé ce livre.
L’ambiance de Petit Goâve est tellement bien retranscrite que je m’imaginais avec le narrateur en train de me promener dans les rues, d’aller sur le marché. Les personnages sont tellement vivants,  la manière de penser dépaysantes que j’ai été transportée.

Merci au blogoclub de m’avoir fait découvrir cet auteur dont je vais lire les oeuvres sans aucun doute.

Un extrait :

« C’est comme ça dans ce pays, mon garçon… Si vous faites des remontrances à quelqu’un, il trouvera toujours un plus faible que lui pour lui rendre la pareille, et lui aussi trouvera un bien plus faible encore, et ainsi de suite, jusqu’au dernier qui donnera un coup de pied au chien… Mange plutôt, c’est ce que nous avons de mieux à faire en ce moment. » p 139

Ma note : 4/5

Les boucanières d’Edith Warthon

Quatrième de couverture :

« Les Boucanières est l’ultime roman inachevé de la grande Wharton. Un délice. » – Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur « Le mariage, l’amour, l’argent : tels sont les dieux capricieux qui mènent par la main les boucanières, cette bande de ravissantes qui évoque, avant Proust, « une branche chargée de fleurs » (…) Fille d’un divorcé, planteur de café au Brésil, Conchita Closson se poudre à dix-sept ans, fume des cigarettes en faisant des ronds et promène un caniche cravaté d’un noeud rouge. Les deux sueurs Elmsworth possèdent, à un degré alarmant; ce qu’on appelle le « style ». Seule Nan, la cadette des St. George, éclipsée par la beauté de Virginia, son aînée fait preuve d’inexpérience. Mais l’intelligence vient aux filles, surtout lorsque leur mère les flanque d’une gouvernante aussi . séduisante que Miss Testavalley. » – Anne Pons, L’Express

Pourquoi ce livre ?

Toujours et encore le forum Whoopsy Daisy.
Ma lecture :

Nan, jeune fille américaine, se trouve dans un hôtel avec sa sœur et trois autres jeunes filles. Elle est triste car on veut lui infliger la présence d’une gouvernante. Elle ne sait pas que Miss Testavalley va lui  changer la vie.
Ce livre raconte la vie aux Etats Unis puis en Angleterre de ces cinq jeunes filles bien décidées à avoir une place dans la société londonienne faute d’être acceptée aux Etats Unis.

Elles sont plus ou moins « carriéristes », plus ou moins originales (ah ! Merveilleuse Conchita avec ses danses) plus ou moins adaptées  au monde de l’aristocratie.

Ce livre narre les détails de la vie aristocrate  avec les différents échelons, les manières à avoir, l’importance d’être mariée.

Il m’a paru long à certains moments car j’étais perdue dans les différentes familles, les différents noms. Mais tout cela n’a jamais été ennuyant car j’imaginais être dans les soirées dans leur hôtel particulier et manoir regarder avec de grands yeux ces belles toilettes et ces jeunes femmes splendides.

L’héroïne dont on suit le plus les aventures, Nan est une femme attachante, rêveuse, généreuse. J’ai suivi avec intérêt ses aventures, sa relation avec son ancienne gouvernante, une femme admirable.

C’est un très bon livre, long mais passionnant.
Je ne peux que le recommander aux amatrices de belles histoires d’amour avec décor romantique ! (Tout n’est pas rose pour autant sinon cela n’aurait pas été si bien).

Ma note : 4/5


Critiques et infos sur Babelio.com

La servante écarlate de Margaret Atwood

Quatrième de couverture :

Dans un futur peut-être proche, dans des lieux qui semblent familiers, l’Ordre a été restauré. L’Etat, avec le soutien de sa milice d’Anges noirs, applique à la lettre les préceptes d’un Evangile revisité. Dans cette société régie par l’oppression, sous couvert de protéger les femmes, la maternité est réservée à la caste des Servantes, tout de rouge vêtues. L’une d’elle raconte son quotidien de douleur, d’angoisse et de soumission. Son seul refuge, ce sont les souvenirs d’une vie révolue, d’un temps où elle était libre, où elle avait encore un nom. Une œuvre d’une grande force, qui se fait tour à tour pamphlet contre les fanatismes, apologie des droits de la femme et éloge du bonheur présent.

Pourquoi ce livre ?

Je l’avais remarqué sur la blogosphère (mais je ne sais plus où …)

Ma lecture :

Ce livre a eu le don de me donner des frissons. C’est un récit de science fiction mais la possibilité que ça devienne une réalité n’est tellement pas improbable qu’il m’a fait peur.
Un pays se retrouve avec des femmes habillées en écarlate pour procréer.
Elles ne sont utiles qu’à ça. Elles sont les procréatrices des classes riches dans une société où le taux de fécondité a chuté à cause de catastrophes écologiques.

Ces femmes n’ont aucun droit, elles sont séparées de leur conjoint, de leurs enfants. Elles n’ont aucune perspective d’avenir et subisse la pression d’enfanter à tout prix.
En cas d’échec, elles sont envoyées dieu sait où.

Une servante écarlate raconte sa vie, raconte cette dictature et l’installation du pouvoir religieux en loi toute puissante.

Effrayant !

Il y a tellement de thème d’actualité dans ce livre : les catastrophes écologiques, la baisse du taux de fécondité, l’extrémisme religieux. Tout ceci réuni peut donner  un témoignage de la vie réelle si l’on ne fait pas attention.

Un extrait :

« Mais s’il se trouve que vous êtes un homme, quelque part dans l’avenir, et que vous avez survécu jusque là, surtout n’oubliez jamais ceci : vous ne serez jamais soumis à la tentation de croire que vous devez pardonner comme une femme se doit de le faire. C’est difficile d’y résister,croyez-moi. Mais souvenez-vous que le pardon est aussi un pouvoir. Le mendier est un pouvoir, le refuser ou l’accorder est aussi un pouvoir, peut-être le plus grand de tous. » p150

Ma note : 4/5

Mes google readers en parlent : Leiloune, Céline, Argantel, Blog o book

L’ami retrouvé de Fred Uhlman

Quatrième de couverture :

Stuttgart, 1932, Hans Schwarz, fils d’un médecin juif, rencontre Conrad von Hohenfels, issu d’une famille aristocratique à l’histoire prestigieuse. Tout les sépare et, pourtant, une amitié naît, exceptionnelle, exigeante. Mais déjà, avec la montée du nazisme, grondent des rumeurs de haine. Hans, exilé aux Etats-Unis, s’efforcera d’oublier son passé. Un passé qui se rappellera à lui un jour. Une poignante histoire d’amitié rendue impossible par un contexte historique tragique et terrifiant. Fred Uhlman dénonce l’horreur du nazisme.

Pourquoi ce livre ?

Suggestion de mon cher et tendre et pression pour que je le lise vite.

Ma lecture :

Cette histoire raconte l’amitié, en Allemagne, de deux adolescents. L’un est juif, fils de médecin, l’autre protestant, héritier d’une famille ayant un grand passé historique.
Ces deux adolescents sont timides, discrets et étaient seuls avant de s’accoster.
Cette amitié est la chose la plus importante de leur vie et le narrateur se découvre une joie de vivre. Mais c’est sans compter la montée du nazisme et la famille de Conrad …

Ce livre ne m’a pas plu plus que ça.
J’imagine très bien cette amitié, je ressens l’incrédulité de deux jeunes hommes vis à vis des changements politiques alors qu’ils ne se sentent pas concerné.
J’ai aimé les passages de réflexion du héros sur la religion, sur son incompréhension devant un Dieu qui laisserait souffrir les personnes.
Cette histoire m’a laissé sur ma faim.

Un extrait :
« Je savais qu’un million de soldats étaient morts à Verdun. Mais ce n’étaient là que des abstractions, des chiffres, des statistiques, des informations. On ne peut souffrir pour un million d’êtres.
Mais ces trois enfants, je les avais connus, je les avais vus de mes propres yeux, c’était tout à fait différent. Qu’avaient-ils fait, qu’avaient fait leurs pauvres parents pour mériter un tel sort ? » p45

Ma note : 3/5

Critiques et infos sur Babelio.com

Satin grenadine de Marie Desplechin

Quatrième de couverture :

Lucie est persuadée qu’au XXe siècle, les demoiselles de la bonne bourgeoisie parisienne auront le droit de courir toutes nues, d’aller à la messe en cheveux, de parler à table et même, qui sait ? de s’instruire et de ne pas se marier. À quoi bon vieillir, sinon ? Le problème, c’est que nous ne sommes qu’en 1885 et qu’à treize ans, la seule éducation qu’une jeune fille comme Lucie est censée recevoir consiste à savoir tenir une maison pour devenir une épouse accomplie. Hygiène, lessive, cuisine : Lucie est envoyée faire son apprentissage avec Annette, Fanny et Marceline. Si ses parents savaient… Il se passe parfois des choses étranges, dans les communs des maisons bourgeoises. Les domestiques peuvent s’y révèler plus passionnants et subversifs que des livres. On y fait des révolutions en secret. On y organise des expéditions aux Halles au petit matin, ce Ventre de Paris peint par Monsieur Zola d’où sortiront bientôt tant d’idées neuves, socialisme, anarchisme, féminisme…

Pourquoi ce livre ?

Pour le challenge Whoopsy Daisy. J’avoue ne traîner dans les rayons jeunesse de la bibliothèque que pour ce challenge !


Ma lecture :

Lucie est une petite fille au caractère bien trempé issue d’un milieu bourgeois.
Elle n’est considérée par ses parents que comme une fille qu’il faudra marier et dont l’éducation doit se résumer à savoir tenir une maison.
Mais c’est sans compter sa gouvernante qui a des idées progressistes et qui veut que Lucie soit cultivée. Celle- ci ne s’en plaint pas car elle veut voyager chez les sauvages et accessoirement porter du satin grenadine quand elle sera grande.
Marceline, la jeune femme chargée de l’éducation de Lucie, décide de lui apprendre à tenir une maison en lui faisant mettre la main à la pâte.

J’ai beaucoup aimé ce livre car Lucie est une petite fille attachante et vive, son ami du parc est un jeune homme charmant que j’imagine très bien (grâce à mes souvenirs de la comtesse de Segur entre autre) et les personnages secondaires sont savoureux (entre autre Fanny la petite bonne et Mme Sponze la couturière).
La différence de classe est très bien représentée de part les attentes pour l’avenir de chaque protagoniste et l’émergence des idées socialistes et féministes est bien décrite.

Un très bon livre

Ma note : 4/5

La malédiction d’Edgar de Marc Dugain

Quatrième de couverture :

 » Edgar aimait le pouvoir mais il en détestait les aléas. Il aurait trouvé humiliant de devoir le remettre en jeu à intervalles réguliers devant des électeurs qui n’avaient pas le millième de sa capacité à raisonner. Et il n’admettait pas non plus que les hommes élus par ce troupeau sans éducation ni classe puissent menacer sa position qui devait être stable dans l’intérêt même du pays. Il était devenu à sa façon consul à vie. Il avait su créer le lien direct avec le Président qui le rendait incontournable. Aucun ministre de la Justice ne pourrait désormais se comporter à son endroit en supérieur hiérarchique direct. Il devenait l’unique mesure de la pertinence morale et politique.  » John Edgar Hoover, à la tête du FBI pendant près d’un demi-siècle, a imposé son ombre à tous les dirigeants américains. De 1924 à 1972, les plus grands personnages de L’histoire des Etats-Unis seront traqués jusque dans leur intimité par celui qui s’est érigé en garant de la morale. Ce roman les fait revivre à travers les dialogues, les comptes rendus d’écoute et les fiches de renseignement que dévoilent sans réserve des Mémoires attribués à Clyde Tolson, adjoint mais surtout amant d’Edgar. A croire que si tous sont morts aujourd’hui, aucun ne s’appartenait vraiment de son vivant.

Pourquoi ce livre ?

Je l’ai vu dans une liste ABC (je ne sais plus laquelle mea culpa…) et j’en avais entendu parler.

Ma lecture :

Déjà c’est une écriture extrêmement fluide. Il n’y a pas de formules, métaphores et tutti quanti. Ce qui le rend reposant à lire.
L’histoire m’a assez choqué du fait qu’elle expose ouvertement le fait que nous pouvons être dirigé par des personnes extrêmement mal dans leurs peaux et n’assumant rien de leur vie.

Edgar Hoover fut le chef du FBI des années 1924 à 1972. C’était un homme avec un immense pouvoir, il connaissait tout de la vie des présidents, prenait des décisions importantes. Son amant et adjoint raconte dans ce livre tout le paradoxe de cet homme qui faisait « la chasse » aux communistes, qui ne supportait pas les homosexuels alors qu’il en était un.
Ce livre raconte la vie de la tribu Kennedy, leur assassinat, les deals avec la mafia, etc.

C’est une histoire passionnante et j’ai été scotché au livre.

Ma note : 4/5