Quatrième de couverture :
Owen Mackenzie est un Américain ordinaire – informaticien à la retraite, marié deux fois, père de quatre enfants. Pourtant sa vie est loin d’être paisible : son passé l’aide à combler le vide absurde creusé par la vieillesse, mais lui pèse aussi. Que reste-t-il ? Les villages dans lesquels il a vécu, les femmes qu’il a rencontrées, épouses et maîtresses, ces amours crus et tendres dont il s’est nourri.
Pourquoi ce livre ?
Parce qu’il était proposé par notre ami BOB en partenariat avec les éditions le point.
Ma lecture :
Quelle catastrophe !
Ce livre est brouillon au possible. Au début le narrateur raconte sa vie actuelle entrecoupée de ses souvenirs d’enfance sans transition. Pour finir je ne savais plus à quelle époque j’étais. J’ai failli laisser tomber la lecture pour cause de maux de tête récurrents. J’ai persévéré en espérant que sa lecture it facile ensuite, avec un petit espoir que l’histoire se révèle intéressante et … échec !
Le narrateur nous raconte sa rencontre avec sa première femme, il part dans des descriptions sans intérêt.
J’ai eu un sentiment de gâchis en lisant ce livre. L’impression qu’il aurait été intéressant à lire mais que la forme a tout détruit.
Je me suis arrêtée à la moitié car j’estimais en avoir assez subi !
Ma note : 1/5 (premier livre à inaugurer cette note ! )
et aux éditions POINTS
quand on n’aime pas, ce n’est pas la peine de se forcer…