Sexe, diamants et plus si affinités… de Lauren Weisberger

Quatrième de couverture :

Emmy, Leigh et Adriana sont amies depuis six ans. Belles, sexy, dans le vent, elles connaissent par coeur tous les endroits tendance de Manhattan. Pourtant, lors d’une soirée un peu trop arrosée, elles font un pacte qui va bouleverser leur existence : chacune des trois doit changer radicalement de comportement surtout à l’égard du sexe fort ! Mais si transformer une bomba latina en jeune mariée n’est pas une mince affaire, convertir une grande romantique au libertinage relève presque du miracle. Quant à faire dévier du droit chemin une workaholic sur le point d’épouser l’homme de sa vie et de s’installer dans l’appartement de ses rêves, c’est carrément mission impossible ! Sauf que, c’est bien connu, la vie est pleine de surprises.
Pourquoi ce livre ?
Ca, je me le demande bien maintenant. Quelle erreur de l’acheter. Je pense que j’avais envie d’un moment de détente et que je me suis dit « pourquoi pas ? »

Ma lecture :
Insipide !
C’est un roman que j’ai trouvé niais, avec des personnages mièvres, des gosses de riche n’ayant que leur nombril à regarder. Au mieux, ça aurait pu être divertissant. ca ne l’est même pas. Je suis bien déçue, moi qui avais trouvé du charme au  « le diable s’habille en Prada ».
A voir ça, l’auteure a oublié ce qu’était la simplicité et la vie de Mr et Mme tout le monde entre ces deux romans.

Ma note : 0/5 (belle inauguration de cette catégorie !)

Ella l’ensorcelée de Gail Carson Levine

Quatrième de couverture :

 » Lucinda, cette idiote de fée, n’avait pas l’intention de me jeter un sort. Elle voulait me faire un cadeau. Comme j’avais pleuré désespérément pendant toute la première heure de mon existence, ce furent mes larmes qui lui donnèrent une idée. Hochant la tête et regardant ma mère d’un air compatissant, la fée me toucha le nez. – Mon cadeau sera l’obéissance. Elle sera toujours obéissante. Et maintenant, arrête de pleurer, mon enfant. Je m’arrêtai.  » Le sort de la fée Lucinda est si puissant qu’Ella est obligée d’exécuter tous les ordres qu’on lui donne, quels qu’ils soient, même si elle s’y refuse de toutes ses forces. En grandissant, elle a appris à mettre toute son intelligence au service d’une lutte de chaque instant pour dissimuler sa vulnérabilité. Mais à présent que sa mère est morte, que son père a décidé de se remarier, la voilà plus fragile que jamais. Car certaines personnes malveillantes ont tôt fait de percer son secret et de s’en servir. Les pouvoirs de sa marraine et l’amour du prince Charm l’aideront-ils à échapper aux personnes qui la haïssent et à vaincre la malédiction ?

Pourquoi ce livre ?

Sur le forum Whoopsy Daisy, il en était question ici et cela m’avait donné envie de le lire.

Ma lecture :

Ce livre est pour moi le parfait roman.

L’héroïne est attachante, elle vit des aventures trépidantes, l’environnement est passionnant (ogres, géants, gnomes, …).

Ella, jeune fille orpheline de mère, doit se débrouiller avec une malédiction qui l’oblige à obéir aux ordres (selon la fée qui lui a donné, c’est un don !).

Elle est obligée de subir les désidératats de sa belle famille et cherche à faire annuler cette malédiction par tous les moyens. Elle rencontre le prince Charm pour qui elle a de l’affection mais avec qui c’est loin d’être simple.

Un excellent roman avec de la magie, de l’humour, de l’amour et de l’amitié !

Ma note : 5/5

Mange prie aime d’Elizabeth Gilbert

Bonne année à vous tous ! Que cette année vous apporte plein de bonnes choses !

Quatrième de couverture :

A trente et un ans, Elizabeth possède tout ce qu’une femme peut souhaiter : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Pourtant, elle est rongée par l’angoisse et le doute.
Un divorce, une dépression et une liaison désastreuse la laissent encore plus désemparée. Elle décide alors de tout plaquer pour partir seule à travers le monde !
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les « douze kilos les plus heureux de sa vie » ; en Inde, ashram et rigueur ascétique l’aident à discipliner son esprit et, en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver cet équilibre qu’on appelle le bonheur…
Et qui n’a jamais rêvé de changer de vie ?

Pourquoi ce livre ?

Il etait sur les gondoles du libraire et le titre m’a interpellé.

Ma lecture :

Ce livre arrive dans ma vie quand je me retrouve en pleine réflexion « théologique ». J’ai beaucoup aimé les trois quarts du livre (la partie sur l’Italie et sur l’Inde).

Les réflexions, les sentiments de la narratrice sont bien décrites, ses débats intérieurs, sa recherche du bien être et les coïncidences qui ponctuent sa vie m’ont passionné.

Ce livre m’a beaucoup apporté.

La troisième partie par contre, m’a paru longue et ne m’a pas beaucoup intéressée.

Un bon livre

Ma note : 4/5

PS : Je reprends tout doucement le blog. Je ferai un billet récapitulatif un peu plus tard, des challenges, des coups de coeur 2010 …

Maudit karma de David Safier

Quatrième de couverture :

Animatrice de talk-show, Kim Lange est au sommet de sa gloire quand elle est écrasée par une météorite. Dans l’au-delà, elle apprend qu’elle a accumulé beaucoup trop de mauvais karma au cours de son existence. Non seulement elle a négligé sa fille et trompé son mari, mais elle a rendu la vie impossible à son entourage. Pour sa punition, Kim se réincarne en fourmi. Et le pire reste à venir : de ses minuscules yeux d’insecte, elle voit une autre femme la remplacer auprès de sa famille. Elle doit au plus vite remonter l’échelle des réincarnations. Mais, de fourmi à bipède, le chemin est long. Kim devra surmonter bien des obstacles… et, au passage, revoir la plupart de ses conceptions sur l’existence ! Tour à tour incisif, léger et émouvant, Maudit Karma est un roman jubilatoire.

Pourquoi ce livre ?

Je l’avais inscrit sur ma LAL et je l’ai offert à ma maman. (Pourquoi il était sur ma  LAL ? Je n’en sais rien …).

Ma lecture :

Arghhhh ! La sensibilité exacerbée de maman ! Je n’avais pas ce problème avant d’avoir mon fils… J’ai bloqué sur le fait que la fille de l’héroïne se retrouvait orpheline de maman et ça m’a fait buggé une grande partie du livre.

Cette histoire est pourtant drôle et originale mais je n’ai pas réussi à me débarrasser de cette tristesse.

C’est un livre que je recommande pour se changer les idées car c’est drôle, l’idée de l’auteur de mettre Casanova en âme stagnant en fourmi par manque de motivation pour améliorer son karma m’a plu et j’ai trouvé l’histoire bien goupillée.

Un bon moment de lecture en perspective pour celles et ceux qui n’ont pas mon handicap.

Ma note : 4/5

Critiques et infos sur Babelio.com

La chorale des maîtres bouchers de Louise Erdrich

Quatrième de couverture :

1918. De retour du front, Fidelis Waldvogel, un jeune soldat allemand, tente sa chance en Amérique. Avec pour seul bagage une valise pleine de couteaux et de saucisses, il s’arrête à Argus, dans le Dakota du Nord où, bientôt rejoint par sa femme et son fils, il décide d’ouvrir une boucherie et de fonder une chorale, en souvenir de celle des maîtres bouchers où chantait son père. Des années 1920 aux années 1950, entre l’Europe et l’Amérique, ce roman à la fois épique et intime retrace le destin d’une famille confrontée au tumulte du monde.

Pourquoi ce livre ?

C’est un partenariat éditeur de Blog-o-book avec Le livre de poche.

Ma lecture :

J’ai adoré ce livre.

L’histoire de Fidelis, jeune homme revenant du front de la première guerre mondiale, qui décide de partir aux Etats Unis pour créer un avenir à sa femme et son fils m’a transporté.
J’ai suivi cette épopée familiale avec beaucoup d’attention,  j’ai aimé les protagonistes, leurs forces de caractères, leur sensibilité.

L’auteur décrit tellement bien les lieux, l’ambiance que j’ai pu m’imaginer arpentant les rues poussiéreuses, ressentir la chaleur oppressante de cette période de sécheresse calamiteuse lors de la grande dépression.

Cette histoire  est riche de sentiments, de moral, de vécu, les sentiments des personnages sont très bien décrits avec beaucoup de pudeur.

C’est une vraie saga familiale qui tient en haleine jusqu’au bout.

Un très bon livre.

Ma note : 5/5

 

Un grand merci à

 

et aux éditions Le livre de Poche

La prime de Janet Evanovich

Quatrième de couverture :

Adieu froufrous, adieu dentelles. La lingerie, c’est fini. Stéphanie Plum, trente ans, n’a plus de boulot. Sa télé est au clou, son frigo est vide et elle se désespère. Heureusement, il y a son cousin Vinnie ! Il dirige une agence de cautionnement et cherche un chasseur de primes… Elle décroche le job et se retrouve sur les traces de Joe Morelli, un flic accusé de meurtre. Un malin, un dur, un séducteur… D’ailleurs, ce ne serait pas le même Joe Morelli qui l’a séduite et abandonnée lorsqu’elle avait seize ans ? Une raison de plus pour le retrouver !  » Stépahnie Plum a de l’humour, de la spontanéité, du bagou, de la rancune. Du charme, quoi ! Dinah Brand – Lire

Pourquoi ce livre ?

Mon amie Elise m’en avait parlé avec un grand sourire et j’ai lu un sujet sur le super forum Whoopsy Daisy qui en parlait également.

Ma lecture :

Génialissime !

Stéphanie Plum est au chômage. Elle décide de tenter d’être une chasseuse de primes. Celui qu’elle poursuit est un de ses ex – Joe Morelli- un policier sexy.

J’ai adoré. L’héroïne est drôle, j’aurai aimé l’avoir comme amie tellement elle est sympa, fait des bourdes. Joe est rigolo, l’ambiance entre les deux oscillent entre l’amusement, l’énervement et la séduction.

L’histoire est palpitante et bien ficelée.

J’ai acheté tout les tomes disponibles (et en ce moment, je prie pour que le 4éme arrive bien demain dans ma boîte aux lettres… oui, je suis grave….).

Ma note : 5/5

Critiques et infos sur Babelio.com

French Manucure de Géraldine Maillet

Quatrième de couverture :

 » Je voudrais porter un toast aux quatre millions de Parisiens. Parmi eux, il y a forcément mon idéal masculin, mon double, ma moitié, un aventurier, financier, protecteur, paternel, charmeur, fidèle… « 

Pourquoi ce livre ?

Il était sur ma LAL et cherchant des livres à offrir à ma maman, je l’ai choisi.

Ma lecture :

Force est de constater que je ne suis pas dans une période exceptionnelle de choix littéraire. Moi qui trouvait que je donnais beaucoup de 5/5 et de commentaire « exceptionnel ! superbe livre ! », la période a l’air d’être entre parenthèse pour l’instant.

J’ai trouvé ce livre inintéressant, mal écrit, les personnages vulgaires, frivoles et sans aucun intérêt. Je me demande en quoi cette histoire aurait pu être intéressante avec des protagonistes pareilles.

Bref, je suis désolée Maman d’avoir fait un choix pareil. Je ferai mieux la prochaine fois ….

Ma note : 1/5

Les chutes de Joyce Carol Oates

Quatrième de couverture :

Au matin de sa nuit de noces, Ariah Littrell découvre que son époux s’est jeté dans Les chutes du Niagara. Durant sept jours et sept nuits, elle erre au bord du gouffre, à la recherche de son destin brisé. Celle que L’on surnomme désormais  » la Veuve blanche des Chutes  » attire pourtant l’attention d’un brillant avocat. Une passion aussi improbable qu’absolue les entraîne, mais La malédiction rôde…

Pourquoi ce livre ?

Pour le challenge Littérature au féminin. C’est une lecture commune avec Mathilde. De plus, j’avais tellement entendu parlé de cette auteur que j’étais curieuse.

Ma lecture :

Déception !

Déjà l’héroïne m’a énervée. Je ne lui ai rien trouvé d’exceptionnel. En plus, les héroïnes qui attendent la catastrophe en fermant les yeux (surtout qu’il n’y avait pas de fatalité à part dans sa tête), ça me saoule.

Pour ajouter à cela, je n’ai pas trouvé le style de l’auteur plus attractif que ça.
Rendue pages 310, ayant parcouru la fin en diagonale, je me suis demandée pourquoi je voulais à tout prix terminer un livre qui m’ennuyait et qui m’empêchait d’en lire d’autres plus intéressants à mes yeux. Comme ni les challenges ni les lectures communes sont des punitions, je me suis permise d’arrêter cette ennuyante lecture.

Ma note : 1/5

Critiques et infos sur Babelio.com

Objectif PAL Septembre : Les 10 femmes de l’industriel Rauno Ramekorpi d’Arto Paasilinna

Quatrième de couverture :

Rauno Rämekorpi, un riche industriel finlandais, fête ses soixante ans. Comme le veut la coutume, les invités ont afflué chez le héros du jour les bras chargés de cadeaux et de fleurs. Mais Mme Rämekorpi est allergique au pollen et Rauno se voit donc prié, à peine le dernier convive parti, de convoyer les fleurs à la décharge sans même prendre la peine d’ôter sa queue-de-pie. En chemin, l’heureux sexagénaire a soudain une bien meilleure idée : il offrira les bouquets à ses nombreuses maîtresses. Commence alors une tournée qui va mener ce noceur impénitent d’une alcôve à l’autre dans un déluge de libations et de bonne chère. Hilares, nous suivons les drôles de péripéties de ce vieux séducteur et de ses décapantes compagnes. Le succès est tel que Rauno décide de réitérer sa généreuse virée à l’occasion des fêtes de fin d’année. Mais le vent semble entre-temps avoir tourné pour notre don Juan déguisé en Père Noël… Une farce aux accents rabelaisiens, une réjouissante galerie de portraits de femmes victimes d’un héros qu’on adorera détester! Traduit du finnois.

Pourquoi ce livre ?

Il y avait eu beaucoup de critiques sur mon monde bloguesque et donc la tentation fut grande de le lire quand je l’ai trouvé à la bibliothèque.

Ma lecture :

L’histoire est drôle. La logique des personnages est atypique.
Rauno Ramekorpi a fait une tournée pour ses soixante ans de ses anciennes maîtresses et s’en trouve de nouvelles.
Accompagné de son chauffeur de taxi, il distribue des fleurs, du champagne et du caviar. Ce sont des rencontres atypiques avec leur logique propre.
Comme cette tournée lui a beaucoup plu (quelle santé d’ailleurs !), il récidive pour Noël.

Je me suis ennuyée pendant cette lecture. Je pense que le fait de connaître le style de l’auteur en ayant lu « La douce empoisonneuse » est responsable du fait qu’il n’y est plus de grande surprise en lisant ce livre. De plus, il a beaucoup moins de rebondissements que dans l’autre livre.

Bref, bilan mitigé !

Ma note : 2/5

Ma google reader : amanda, Fantasio

L’amour est à la lettre A de Paola Calvetti

Quatrième de couverture :

Milanaise romantique, Emma décide de changer radicalement de vie en ouvrant une librairie de quartier baptisée Rêves&Sortilèges. Le charme et l’originalité de sa boutique résident dans sa spécialité : les livres consacrés à l’amour. Emma, qui semble s’être résignée au célibat depuis son divorce, na pas son pareil pour dénicher l’ouvrage qui aidera un client perdu sur la carte du Tendre. C’est évidemment par l’intermédiaire d’un livre qu’Emma retrouvera Federico, son grand amour de jeunesse. Alors qu’ils ne se sont pas vus depuis trente ans, tout se passe comme s’ils ne s’étaient jamais quittés. Si ce n’est que Federico vit à présent à New York, où il est architecte, marié et père d’une adolescente. Malgré tout, Federico et Emma entament une relation épistolaire, après avoir ouvert chacun une boîte postale dont ils sont les seuls à connaître l’existence… Dans ce roman hors normes, Paola Calvetti rend un vibrant hommage au pouvoir des mots et de la littérature. A lire pour rêver, les yeux ouverts, à toutes les possibilités de l’amour.

Pourquoi ce livre ?

Parce qu’il était en mis en valeur par la libraire, parce qu’il parle d’amour et de correspondance (tout ce que j’aime !)

Ma lecture :

J’ai beaucoup aimé l’histoire, le personnage d’Emma. J’ai adoré l’idée de la librairie spécialisée dans l’amour. J’ai beaucoup appréciée les citations, les références aux différents livres.

Par contre, toute la partie sur l’architecture m’a ennuyée.

C’est une jolie histoire d’amour mais paradoxalement, j’ai trouvé qu’elle n’en parlait pas assez. Il y a une grand part de description des bâtiments d’Emilio mais peu de sentiments. C’est dommage.

J’ai également trouvé la fin longue.

Bref, bilan mitigé.

Ma note : 3/5

Ma google reader : les facéties de Lucie, audouchoc, Karine 🙂, Keisha ….