Quatrième de couverture :
Depuis l’enfance, Julia Miller est promise à Richard Allen, même si elle l’a haï au premier regard. Heureusement, Richard a eu le bon goût de disparaître aux Caraïbes. Neuf années se sont écoulées. Désormais seule à la tète des affaires familiales, Julia songe à annoncer la mort de Richard. Il va pourtant réapparaitre brusquement dans sa vie, attiré à Londres par la présence d’une femme qui le subjugue : Georgina, l’épouse du redoutable James Malory, qu’il compte bien séduire envers et contre tous. Bien sùr, Julia et Richard se détestent toujours autant mais, dès lors, ils vont s’acoquiner dans le but de rompre ce maudit contrat qui les lie de manière irrévocable.
Ma lecture :
C’est le dernier de la série et tant mieux.
Déjà, ne cherchez pas pourquoi il est intitulé les frères Malory car ça fait un moment qu’on nage dans des eaux parallèles.
Mme Lindsey me donne vraiment l’effet de manquer d’imagination et de répéter à l’infini la même litanie : « bâteau – gentil pirate (enfin pas pirate mais ça fait mieux de dire que s’en est un) -beau gosse – belle jeune fille – James et son mauvais caractère « . Comme ce n’est pas une série à lire si on veut se marrer et bien, ma foi, ça a ses limites. Alors pour pimenter cet opus, il y a un très méchant papa, une enfance du héros horrible et il s’est vengé sur l’innocente héroïne. Héroïne d’ailleurs, qui est affublé d’un papa subclaquant.
Bien sûr, je ne lis pas ce genre de livre à la recherche d’une crédibilité sans faille mais j’aime quand ça ressemble à quelque chose. Et là, j’avoue, pour moi, ça ressemble à rien.
Il est à noter que j’ai déjà oublié l’histoire des autres tomes d’ailleurs (à part le 2 et 3).
Comme quoi, ce n’est pas bon de vouloir persévérer…
Ma note : 1/5
PS : Et j’aimerai pas être affublé de la robe de la couverture (qui me fait penser au noeud autour d’un ballotin de chocolat – fin du HS)