Le barbier de Séville de Beaumarchais

Quatrième de couverture :

 » Enfin l’on sortait des ridicules de salon, des fats, des coquettes, du cailletage ! On en sortait par un retour hardi à la vieille farce, à l’éternelle comédie. Un franc comique jaillissait de l’action prestement menée à travers les situations comiques ou bouffonnes.
Gustave Lanson (1909
 » Je compris aussi la virtuosité avec laquelle Beaumarchais sait faire surgir, agir, réagir, apparaître et disparaître ses personnages, et l’étonnante, la prestigieuse magie avec laquelle il noue et dénoue les intrigues les plus compliquées.  » Louis Jouvet (1938

Pourquoi ce livre ?

Je me trouve anémiée en culture générale et donc j’ai décidé de lire les grands classiques. Comme j’adore le théâtre, ce choix m’est venu rapidement.

Ma lecture :

Une pièce avec une histoire d’amour, de la ruse, de l’humour.

Le comte Almaviva tombe amoureux d’une jeune fille, Rosine, qui est gardée jalousement par son tuteur qui veut attendre sa majorité pour l’épouser. Figaro, barbier de Séville, ancienne connaissance du comte, va l’aider à entrer en contact avec Rosine et lui faire la cour.

J’ai beaucoup aimé car c’est rythmé, drôle, Figaro manque pas d’à propos.

Un agréable moment de lecture.

Ma note : 4/5

5 réflexions sur “Le barbier de Séville de Beaumarchais

  1. J’ai l’impression d’avoir lu ça il y a au moins un siècle mais c’est vrai que c’est revigorant et très enjoué, espiègle aussi. Il y a quelques classiques que je n’ai toujours pas lu non plus…on s’en fait souvent une idée beaucoup plus barbante que la réalité. ;o)

  2. J’ai vu l’opéra deux fois mais bizarrement, je n’ai jamais lu la pièce de départ. Du coup, il faut que je la lise. Je sens que je vais avoir des chansons dans la tête pendant un bon moment!

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